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La Femme-Prêtre – L'Église Catholique de la Nouvelle France
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La Femme-Prêtre

Tout d’abord, le choix des hommes dans la tradition de l’Église Catholique pour la prêtrise n’est pas doctrinal, mais purement disciplinaire, car sous le regard de Dieu, il n’y a ni homme, ni femme. Le sacerdoce est conféré à l’âme et l’Église Catholique a toujours enseigné que l’âme n’a pas de sexe et qu’au ciel nous sommes comme des anges.

Et même Sainte Thérèse de l’enfant Jésus avait le désir de la prêtrise. Et un Saint normalement ne désire pas en ce monde ce qui est contraire à la Foi catholique.

Voici ce qu’elle dit sur le sujet qui nous concerne: 

 

 

«Être Votre épouse, ô Jésus! être carmélite, être par mon union avec Vous, la mère des âmes, tout cela devrait me suffire. Cependant, je sens en moi d’autres vocations; je me sens la vocation de guerrier, de prêtre, d’apôtre, de docteur, de martyr… La vocation de prêtre! Avec quel amour, ô Jésus, je Vous porterais dans mes mains, lorsque ma voix Vous ferait descendre du ciel! Avec quel amour je Vous donnerais aux âmes!….” Sainte Thérèse de l’enfant-Jésus (Docteur de l’Église), histoire d’une âme, chapitre XI. 

Au Procès de béatification et de canonisation, Soeur Geneviève de la Sainte Face témoigne:

“Au courant de l’année 1897, soeur Thérèse de l’Enfant-Jésus me dit, bien avant d’être malade, qu’elle s’attendait bien à mourir cette année; en voici la raison qu’elle me donna… “Voyez-vous, me dit-elle, le Bon Dieu va me prendre à un âge où je n’aurais pas eu le temps d’être prêtre.”Procès de béatification et canonisation de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte-Face, Rome, Bibliotheca Carmeletica, 1973, Document I, Témoin 4, p. 305.

A la fin, elle se disait:

“heureuse de mourir à vingt-quatre ans, parce que, avant cet âge, on n’est généralement pas ordonné prêtre. Le Bon Dieu, en me rappelant à Lui, m’épargne le chagrin d’avoir vécu sans l’être, et celui de vivre sans l’espoir de le devenir jamais.” Souvenirs inédits, dans Esprit de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, Office central de Lisieux, 1930, chap. 2, p. 70.

La pensée que sainte Barbe avait porté la sainte communion à saint Stanislas Kostka la ravissait:

 
“Pourquoi pas un ange, nous disait-elle, pas un prêtre, mais une vierge? Oh! qu’au ciel nous verrons de merveilles! J’ai dans l’idée que ceux qui l’auront désiré sur la terre jouiront là-haut des privilèges du sacerdoce.”Conseils et Souvenirs, recueillis par Soeur Geneviève de la Sainte Face, Office Central de Lisieux, 1952, 2e éd., p. 87. 
Cependant la nature humaine, nous oblige à restreindre leur ministère, c’est-à-dire qu’elles ne pourraient pas faire de sermon pendant la messe du dimanche, devant des hommes. Elles ne pourraient pas entendre en confession des hommes, mais seulement des femmes. Il doit y avoir une réelle séparation des hommes et des femmes dans leurs ministères, ce qui signifie également qu’elles ne pourraient pas également servir d’assistance à un prêtre masculin à l’autel.
 
“Je ne permets point à la femme d’enseigner, ni de prendre autorité sur l’homme; mais elle doit demeurer dans le silence.” 1 Tim 2,12
 
Ensuite, je crois qu’il serait avantageux pour les femmes et pour le prêtre masculin que la confession des femmes soit entendue par une femme prêtre, surtout lorsqu’il s’agit de pécher qui concerne l’impureté, afin de ne pas attiser les passions de l’un et de l’autre.
 

Ensuite, lorsqu’on s’oppose à l’ordination des femmes on oublie vite le rôle prééminent de la Très Sainte Vierge Marie, la Reine des Apôtres. 

Citation:
La fonction primordiale du prêtre est d’intercéder pour l’humanité en offrant la sainte Victime Jésus à Son Père. Or, si Dieu pensait, comme certains hommes d’Église, qu’une âme incarnée dans un corps de femme ne peut remplir cette fonction sacerdotale, aurait-il précisément choisi de venir en ce monde par une femme, la Très Sainte Vierge Marie?Non seulement a-t-Elle formé l’Homme-Dieu dans Son sein, mais Elle L’a aussi constamment offert au Père, non seulement sous les accidents eucharistiques, mais sous les accidents physiques de Son Humanité. Debout au pied de la Croix, Celle qui, à juste titre, est appelée la Corédemptrice et la Médiatrice de toutes les grâces, y compris la grâce de l’ordination sacerdotale, Marie a agi “in persona Christi” comme le prêtre le fait au moment le plus solennel de sa fonction sacerdotale, à savoir la Consécration de la Messe, renouvellement du sacrifice du Calvaire.En effet, s’il y eut jamais une personne humaine qui ait put dire, presque en vertu de Son essence: “Ceci est Mon Corps, ceci est Mon Sang”, désignant par ces mots le Corps et le Sang de Notre-Seigneur Jésus-Christ, c’est bien la glorieuse Vierge Marie. Son sacerdoce, pour ne pas être sacramentel, est cependant comparable à celui du Christ Lui-même. Extrait tiré de ce site: http://www.magnificat.ca/fran/pretrise.htm    

“Ayant tous été baptisés dans le Christ, vous avez revêtu le Christ. Il n’y a plus parmi vous ni Juif ni Grec, ni esclave ni homme libre, ni homme ni femme; car tous vous ne faites qu’un dans le Christ Jésus.” (Gal. 3, 27-28 )

C’est quoi qui donne à l’homme sa capacité d’effectuer le Saint Sacifice? Son sexe? Sa barbe au menton? Son poil sur sa poitrine? Il ne faut pas penser selon la chair, mais selon l’esprit. Ce n’est pas les caractéristiques physiques d’un homme qui nous rendent dignes de consacrer l’ostie. Le sacerdoce est administré à l’âme de la personne et non au corps d’un homme. Nous savons qu’il y a plusieurs femmes stigmates dans l’Église Catholique. Et le stigmate reproduit le crucifiement de Jésus-Christ en sa chair alors que le prêtre reproduit le crucifiement de Jésus-Christ sur l’autel pendant la messe. Alors, c’est quoi la différence? Tout les deux sont un renouvellement du saint sacrifice au calvaire.
 
Cependant, c’est vrai que l’idée d’avoir des femmes prêtre dans l’Église Catholique est nouvelle, mais comme dirait Jésus, je ne suis pas venu abolir la loi ou la doctrine, mais la parfaire. Il ne faut pas s’attacher à de la discipline, mais à la doctrine. La discipline de l’Église évolue sans cesse selon le contexte social de l’Époque. Lorsque sous l’ancienne loi, on interdisait de manger du cochon, est-ce que cela signifiait que les juifs étaient dans l’erreur? NON Autrefois, l’Église Catholique interdisait aux laïcs de lire la bible, est-ce que cela signifiait qu’elle était dans l’erreur? NON Lorsque Saint Pie X permis la communion aux jeunes enfants, est-ce que cela signifiait que l’Église était dans l’erreur de l’interdire avant lui? NON Est-ce condamner l’Église lorsqu’on améliore la disciple? NON

“Ce que vous lierez sur la terre sera lié dans les cieux, ce que vous délierez sur la terre sera délié dans les cieux” (Mt.18, 18 )

Citation:
Jusqu’au XVIIe siècle, l’Église ne permettait aucun apostolat extérieur aux Religieuses; elles ne pouvaient absolument pas sortir du cloître. C’est Saint Vincent de Paul qui, en 1633, ouvrit une nouvelle voie en fondant l’Institut des Filles de la Charité. Il tenait à en faire une Communauté religieuse, mais sans clôture. L’idée était si nouvelle que, pendant neuf ans, les Filles de la Charité vécurent la vie religieuse tout en accomplissant leurs oeuvres de charité, mais sans pouvoir prononcer de voeux. Elles ne furent autorisées ensuite qu’à des voeux annuels; l’Institut ne reçut l’approbation officielle de Rome qu’en 1668, soit huit ans après la mort du saint fondateur. Grâce à Saint Vincent de Paul, mais non sans grandes oppositions de toutes parts, une nouvelle vocation était désormais ouverte aux religieuses: elles pouvaient travailler directement dans la société. Extrait tiré de ce site: http://www.magnificat.ca/fran/pretrise.htm
Est-ce que Saint Vincent de Paul a condamné plus de 1500 ans d’histoire de l’Église en agissant ainsi?
 
Et bien, c’est la même chose qui se produit avec l’idée de la Femme-Prêtre. L’opposition est grande, mais il n’y a aucun fondement doctrinal pour justifier cette opposition. Il y avait dans l’Église et encore aujourd’hui beaucoup de préjugés vis-à-vis les femmes.

 

Que pouvons-nous penser de St-Thérèse d’Avila dont les hommes d’Église de l’époque qui la persécutaient sans cesse en disant d’elle qu’elle manquait d’humilité et que sa condition de femme ne lui permettait pas d’enseigner les autres, soit des hommes. C’est à cause de ces persécutions qu’elle dira ceci:

 

“O Seigneur, lorsque Vous avez passé sur la terre, Vous n’avez point abhorré les femmes… Vous avez trouvé en elles le plus grand amour et beaucoup plus de foi que chez les hommes… Serait-il donc vrai que nous ne devions rien faire qui vaille pour Vous en public, que nous ne devions jamais adresser au monde de reproches et nous contenter de pleurer ses torts en secret?… Serait-il vrai que Vous n’écouterez pas la supplique si légitime que nous Vous adressons? Pour moi, Seigneur, je ne puis le croire, parce que Vous êtes bon et juste. Vous êtes le juste Juge. Vous ne ressemblez pas aux juges de la terre…” (Sainte Thérèse d’Avila, Chemin de la Perfection, ch. III, p.33-34 — Oeuvres complètes, trad. P. Grégoire de Saint-Joseph, O.C.D., ed. de la Vie Spirituelle, Desclée et Cie, 1931)

“le royaume de Dieu est semblable à un homme qui sort de son trésor des choses nouvelles et anciennes”. (Mt. 13, 52)

Un autre exemple théologique:

Le corps d’Eve a été conçu à partir du corps d’Adam (soit, la fameuse côte d’Adam). Autrement dit au début de la création, il n’y avait qu’un seul corps et un seul esprit. L’esprit de Eve n’était pas plus différent que celui d’Adam, car leur esprit respectif avait pour source Dieu et Dieu n’a qu’un seul esprit à transmettre, soit le sien. L’esprit de Dieu n’a pas changé, alors que celui de la femme a subi plusieurs transformations au fil du temps à cause du péché (ainsi que celui de l’homme). Mais un Saint a le même esprit que le Christ, qu’il soit une femme ou un homme, ils sont UN dans le Christ. Autrement dit, ce n’est plus la femme qui vit en elle, mais le christ. C’est pour cela que sous le regard divin, il n’y a ni femme, ni homme. Et le sacerdoce est appliqué à l’esprit, à l’âme et non au corps. Le Bon Dieu ne fait pas de distinction entre les deux sexes. Le père éternel tout ce qu’il recherche en nous, c’est une reproduction de son fils, que vous soyez un homme ou une femme. Et le sacerdoce de prêtre facilite cette union dans le christ, car il y a une plus grande participation à la rédemption dans ce renouvellement du sacrifice au calvaire et la célébration de la messe est la reine de toutes les prières.

Alors, croyez-vous qu’on peut sincèrement refuser ce don inestimable aux femmes?

C’est la loi qui rendait le sacerdoce des femmes invalide et illégal et non la doctrine catholique. C’était un choix disciplinaire, tout simplement. Mais, la plus grande erreur de Jean-Paul II et de nombreux théologiens c’est d’avoir confondu cette discipline pour de la doctrine. Ils ont mélangé les deux et maintenant à cause du décret de Jean-Paul II, ils peuvent difficilement réparer cette erreur. Ils ont coulé dans le béton doctrinal ce qui était au départ qu’une discipline. Tout simplement. C’est comme la loi de l’Ancien Testament qui nous interdisait de manger du cochon. C’était un choix disciplinaire et non une doctrine. Les lois qui concernent la discipline peuvent changer et elles ont changé plusieurs fois dans l’histoire de l’Église. Et il n’y a rien qui peut empêcher qu’elle change encore, même la doctrine catholique ne peut pas toujours l’empêcher et parfois la doctrine encourage à changer la loi, si le contexte social le permet. Comme c’est le cas aujourd’hui avec l’ordination des femmes.

Rome ne comprend plus le sens réel de ce passage de l’Évangile:

“Et je te donnerai les clefs du royaume des cieux : tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux, et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux. ” (Matthieu 16,19)

La loi est vivante.

Voici le témoigne de quatre Saints sur Marie femme-Prêtre :

“Marie ne pouvait s’enfuir loin du Calvaire parce que Dieu lui avait confié la mission de demeurer là en tant que prêtre, victime et médiatrice. Elle devait rester au Calvaire, près de la croix et du cœur de son Fils. Elle se tenait debout, droite, au Calvaire et accomplit sa fonction de prêtre. Elle se tenait au pied de la croix et y tint le rôle de victime. Elle est restée dans le cœur de Jésus et s’acquitta de sa tâche de médiatrice : forte dans sa première tâche, fidèle dans la seconde, dévouée dans la troisième… Marie a accompli sa première tâche, celle d’être prêtre.” St Antoine Marie Claret (1807 – 1870), Copiosa y vera collección de panegíricos, Rome 1860, vol. 3, pp. 390-391. 

“Marie est la prêtresse [sacerdotissa] de justice parce qu’elle n’a pas épargné son propre Fils, non pour témoigner des souffrances de son Fils, mais dans la perspective du salut de la race humaine, prête à offrir elle-même le Fils de Dieu pour le salut du monde.” (St Antoine de Florence (1389 – 1459), Summa Theologica Moralis, IV, Tit. 15, c. 3, §3.)

“Offrez votre Fils, ô Vierge sacrée et présentez au Seigneur le fruit béni de vos entrailles. Offrez pour notre réconciliation à tous cette hostie sainte, agréable à Dieu. Le Père acceptera pleinement l’oblation nouvelle, l’hostie très précieuse dont il a dit lui-même : ‘Celui-ci est mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis tout mon amour.’ ” ((Mt 3, ). St Bernard de Clairvaux (1090 – 1153), “In Purificatione Mariae”, Sermo III, in Sancti Bernardi Opera Omnia, ed. J. Mabillon, Paris 1982, p. 370 col. b.)

“Après que la vierge sacrée soit arrivée à l’autel, s’étant agenouillée, enflammée par le Saint-Esprit plus qu’un séraphin, et tenant son fils dans ses mains, elle l’offrit comme un don et un sacrifice acceptable à Dieu en priant ainsi : ‘Acceptez, Père tout-puissant, acceptez cette oblation que je vous présente pour le monde entier, moi votre servante. Acceptez maintenant des mains de votre servante ce sacrifice très saint du matin, qui vous sera offert sur les bras de la croix comme sacrifice du soir. Daignez jeter un regard Père très saint sur ce que je vous présente et daignez être attentif à la raison pour laquelle je vous l’offre.’ ” ( St Thomas de Villeneuve (1486 – 1555), “Concio I in Purificationem”, Opera, Manila 1883, vol. 4, p. 397.  )

7 Comments

  • Vous n’aimez pas les femmes ?

  • “Et même Sainte Thérèse de l’enfant Jésus avait le désir de la prêtrise. Et un Saint normalement ne désire pas en ce monde ce qui est contraire à la Foi catholique.”

    Ah bon ? Pourquoi ça ? En morale on a toujours distingué entre désir et acte.

    “C’est quoi qui donne à l’homme sa capacité d’effectuer le Saint Sacifice? Son sexe? Sa barbe au menton? Son poil sur sa poitrine?”

    Sa nature peu-être… tout simplement.

    “Il ne faut pas penser selon la chair, mais selon l’esprit. Ce n’est pas les caractéristiques physiques d’un homme qui nous rendent dignes de consacrer l’ostie. Le sacerdoce est administré à l’âme de la personne et non au corps d’un homme.”

    Euh… là on tombe dans un bel exemple de dualisme néoplatonicien non ? Moi qui croyais que la théologie de l’Église s’appuyait plutôt sur des fondements thomistes…

    “Nous savons qu’il y a plusieurs femmes stigmates dans l’Église Catholique. Et le stigmate reproduit le crucifiement de Jésus-Christ en sa chair alors que le prêtre reproduit le crucifiement de Jésus-Christ sur l’autel pendant la messe. Alors, c’est quoi la différence?”

    Osons une réponse : la différence entre “sacerdoce ministériel” et “sacerdoce baptismal” ?

    Approfondir ce dernier point vous serait, à ce qu’il me semble, d’un grand profit… Mais vous n’êtes pas le seul.

    • Le péché est tout ce qui est contraire à la volonté de Dieu, alors vous supposez que Sainte Thérèse a désiré le péché toute sa vie. Une sainte ne désir pas le péché. La pensée même est un acte et Sainte Thérèse n’a pas eu de mauvaise pensée en désirant devenir un prêtre.

      Le sacerdoce ne concerne en rien la nature de l’homme et cela n’a rien avoir avec le néoplatonicien. Pour ce qui est du sacerdoce ministériel celui-ci n’exclut pas le sacerdoce baptismal. Peu importe le degré du sacerdoce, celui-ci possède un ministère.

  • Le sacerdoce est un appel de Dieu et cela n’a rien a voir avec un péché d’une personne. Dans le cas de sainte Thérèse je crois vraiment que son désir de devenir prêtre a été un appel de Dieu. Elle a souffert de ne pas pouvoir concrétisé cette appel. Mais a réussis a faire un sacerdoce Royal à mon avis. Vous savez on parle souvent de sacrifice et bien dans le cas de sainte Thérèse elle voulait faire toujours plaisir à Notre-Seigneur Jésus et le fait de ne pas avoir put avoir été dans le sacerdoce a été un sacrifice qu’elle a uni à la sainte croix de Notre-Seigneur Jésus.

    • Eh bien oui….. comme vous dites bien…. En 2007 cette vocation a littéralement éclaté en moi…, donner la Communion,déjà quelle grâce de Jésus…..je fais partie…par hasard de l’Institut Deus Caritas …..Thérésien…. Sans savoir que la petite Thérèse avait cette vocation et j’ai lu cet article intéressant.
      Se confesser à un homme est un tour de force pour une femme…. Si je suis rentrée dans cet Institut…. En étant encore mariée( j’ai perdu mon mari de maladie entretemps),
      cette attirance du Sacerdoce est encore plus forte qu’auparavant….. Je reste persuadée malgré mes défauts que c’est une vraie voie….. Que je ne connaîtrai jamais. En tous cas, jamais l’idée ou la vocation de religieuse ne m’a effleurée…..
      Pour toutes celles qui, comme moi ont mal dans leur âme et si elles sont jeunes, pourvu que l’église Catholique change enfin avec le nouveau pape mais hélas, la Curie fait pression et la misogynie bien des dégâts, la femme restant le modèle de la tentatrice éternelle……
      Moi, je prie Jésus chez moi comme un prêtre, c’est à dire que je me sens prêtre en priant, en étant à la Messe…..
      Que Dieu nous aide ainsi que notre Mère du Ciel.

  • On devrait en toute simplicité devenir des etres d’amour. Est-ce que Jésus aurait réservé des pouvoirs aux sexe masculin. Je pense que toute personne qui est dans l’Amour de Jésus peut répéter les gestes de Jésus pour se mémoriser ce message ésotérique qui veut nous dire que nous sommes tous égaux car nous vivons de la même terre.
    Léglise catholique ne veut pas ouvrir une porte dans ce sens car cela pourrait aller jusqu’à accepter le mariage des prêtres et devoir payer des pensions alimentaire. Si on n’avait pas établit des pouvoirs humains il n’y aurait autant de division dans cette institution. Se rappeler que Jésus a dit: que tout royaume divisé en lui-même ne peut résister.

    • @Jean-YVes Letellier, la vocation de prêtre pour les femmes est actuellement approuvée par l’Église Catholique, sauf si vous croyez encore qu’elle est Romaine. Ensuite, cette vocation n’est aucunement acceptée dans le but de donner une légitimité au mariage des prêtres, vous n’avez qu’à vous référer à ma position sur le https://eglisenouvellefrance.com/le-mariage-des-pretres/

      Ensuite, sachez que le rôle du prêtre est d’apprendre à vivre comme s’il n’avait aucune orientation sexuelle qu’il soit un homme ou une femme. La vocation de prêtre est une vocation qui est totalement asexué qui ne se défini pas en fonction de considération sexuelle, alors le fait qu’on accepte qu’une femme devienne prêtre n’a pas pour but d’assouvir des aspirations égalitaires entre les sexes, mais de permettre à des femmes de dire la messe dans le but de sauver les âmes.

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