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Léon XIV

(successeur de Saint Pierre depuis 2005)

Maintenant arrive le moment où je dois parler de moi encore une fois, ce qui ne me réjouit en rien, car au départ si vous recherchez la perfection ou la sainteté en ma personne afin de croire en ma vocation de successeur de Saint-Pierre et de roi de France, vous risquez fortement d’être déçu ou peut-être même d’être soulagé de l’apprendre selon l’estime que vous avez de vous-même, car vous pouvez énumérer tous les péchés inimaginables afin de conclure que je les tous probablement commis, hormis peut-être le meurtre, bien que je m’en sens capable surtout si la personne ciblée me ressemble physiquement et je fais surement de la fausse humilité en m’exprimant ainsi. Autrement dit, Dieu ne m’a pas choisi pour des qualités vertueuses que j’aurais, mais pour des raisons dont j’ignore la raison de telle sorte que ma Foi en fut éprouvée pendant longtemps, surtout que j’étais le seul pendant longtemps à y croire. Ce qu’il faut comprendre, c’est que ce n’est pas la vertu qui détermine le choix de Dieu d’un successeur de Saint-Pierre, mais sa pure miséricorde et son amour pour le salut des âmes, car sur terre, tout est détestable en comparaison de ce qu’on retrouve au Ciel, car comme l’affirme Jésus au jeune homme riche: « Nul n’est bon, si ce n’est Dieu seul. » Luc 18,19.

Alors, il faut savoir que contrairement à mes prédécesseurs Clément XV et Grégoire XVII, je n’ai jamais eu de vision corporelle ou sensible de Notre Seigneur Jésus, mais que des visions intellectuelles combinées avec des événements providentiels du quotidien d’une parfaite synchronicité. C’était des expériences mystiques qui ont principalement commencé à se manifester que lorsque j’ai commencé à suivre Grégoire XVII, des visions plus ou moins régulières selon mon État de grâce ainsi que selon mon degré de ferveur à la prière et à la pénitence. Ensuite, ces visions étaient toujours imprévisibles et inattendues comme des pensées venant de l’extérieur qui s’imposent à mon âme, car il faut savoir que devant Dieu, il ne faut pas avoir de désir ni d’attente particulière de sa part, mais que le seul désir d’accomplir la volonté de Dieu au quotidien.

Alors, il faut savoir qu’après avoir reçu l’appel de Dieu à devenir Roi de France au monastère des apôtres de l’amour infini, je ne m’attendais pas vraiment qu’on allait me demander de porter une tunique de moine sans l’avoir voulu, ni même désiré, mais étant donné que cet appel de Dieu à faire de moi, le roi de France était déjà insensé et ridicule en lui-même à mes yeux, alors j’accepta cette volonté de Dieu d’aller au bout de cette folie sans vraiment le comprendre. Ce n’est que plus tard que j’ai compris que le sacerdoce de prêtre se veut d’être aussi un sacerdoce royal, alors Dieu m’a fait apprécier cette vocation religieuse qui ne correspondait en rien à l’idée que je me faisais au départ de la royauté pour la France. Alors, j’accepta cette idée de demander à mes supérieurs de l’époque à pouvoir prononcer mes vœux de religion, sauf que cette demande (1) fut refusée ce qui évidemment me plongeait dans la confusion, surtout après avoir porté l’habit de moine par esprit d’obéissance sans l’avoir même demandé au départ, mais je ne m’attendais pas que j’allais être élu mystiquement par Dieu comme successeur de Saint Pierre ainsi que comme Roi de France quelque semaines plus tard et lorsque j’ai compris que j’étais le successeur de Grégoire XVII en ce 14 septembre 2005, la première émotion que j’ai ressentie, c’était encore une fois, la confusion la plus complète comme un coup de marteau étourdissant sur la tête.

Autrement dit, mon élection divine suscitait davantage l’incompréhension de ma part que l’inverse tellement que je doutais de ce qui venait de m’arriver surtout que j’étais le seul à en être témoin de telle sorte que ce n’est qu’à reculons et avec grande hésitation que j’accepta ce rôle de successeur de Saint-Pierre et lorsque j’exprimais le moindre doute sur ma vocation à la fois religieuse et royale, la providence m’envoyait des malheurs en tout genre me poussant même dans le péché de telle sorte que ce n’est qu’en ayant la Foi en ma vocation que j’arrivais à m’en relever et je peux vous confirmer que ce n’est pas facile de garder le dépôt de la Foi lorsqu’elle va à l’encontre de l’incrédulité de tous, on se retrouve vite très seul devant Dieu.

D’ailleurs, c’est ainsi que j’ai compris que nous devions tous vivre notre vie spirituelle comme si nous étions tous seuls devant Dieu, comme si tout notre entourage n’était que des instruments de Dieu pour nous façonner à l’image de Jésus et c’est aussi ainsi que vous devez me voir, soit comme un instrument de Dieu. Autrement dit, un simple guide qui indique le chemin le plus court qu’il faut suivre pour aller au ciel et c’est un chemin qui n’est pas sans souffrance, car comme l’affirme Jésus « le royaume des Cieux se prend par violence, et ce sont les violents qui s’en emparent. » Matthieu 11,12.

C’est pour cette raison que pour plusieurs d’entre vous, il vous faudra vous faire violence à vous-même afin de croire en ma vocation, surtout si vous suivez déjà une autre personne que vous pensez être le vrai successeur de Saint-Pierre, car oui, ce n’est pas toujours facile de sacrifier sa volonté propre afin de se maintenir en obéissance vis-à-vis Dieu et l’idée de se guider par soi-même est une voie beaucoup plus facile à suivre dans un monde individualiste comme le nôtre et cela, même si cette voie ne mène nulle part pour ne pas dire l’enfer, un enfer qui commence bien souvent sur terre de telle sorte que peu importe le chemin que vous allez suivre ce dernier sera douloureux. Alors, vous avez pleine liberté de me suivre ou pas, mais sachez que ce chemin que je vous propose ou plutôt que Dieu vous propose est malgré la souffrance, une source de paix et d’espérance.

Cependant, plusieurs personnes seraient tentées de me répondre en me disant que Grégoire XVII aurait déjà son successeur en la personne du Père Mathurin de la Mère de Dieu sous le nom de Grégoire XVIII, soit la même personne qui a pris la décision de m’expulser du monastère en 2006, mais je vous répondrais que si le Père Mathurin était vraiment le successeur de Grégoire XVII, c’est Dieu en personne qu’il l’aurait élu et non, Grégoire XVII de son vivant qui d’ailleurs n’était déjà plus le successeur de Saint Pierre en 2011 et cela depuis mon élection divine du 14 septembre 2005.

Ensuite, il faut savoir qu’un successeur de Saint Pierre ne peut pas se permettre de choisir son successeur à la place de Dieu en s’imaginant que le dépôt de la Foi va se transférer tout seul à son successeur au moment de sa mort. Autrement dit, le successeur de Saint Pierre n’a pas ce pouvoir d’élire son propre successeur ou sinon, il n’aurait pas besoin de Dieu comme supérieur hiérarchique pour gouverner une Église qui n’est pas censé lui appartenir. Ensuite, cette idée que ce choix du père Mathurin aurait été ratifié unanimement par les Cardinaux de l’Église Rénovée est aussi une erreur, car je vous rappelle que le rôle d’un conclave était de ratifié le choix de Dieu et cette reconnaissance du choix de Dieu devait préalablement avoir été confirmée par l’Esprit Saint et non, par Grégoire XVII en personne, ce qui ne les distingue plus vraiment du conclave de Rome dans leur manière de se choisir un Pape en fonction de leurs goûts personnels ou de ceux de Grégoire XVII.

Ensuite, le fait d’admettre que Grégoire XVII aurait choisi son successeur de son vivant laisse également sous-entendre que Grégoire XVII aurait abdiqué de son vivant de sa position de successeur de Saint Pierre, car il faut savoir que la volonté de Dieu est toujours immédiate aussitôt qu’elle s’exprime et que l’Église ne peut pas reposer sur deux successeurs de Saint Pierre différent en même temps. Il faut savoir que c’est notre infidélité à reconnaitre et à accomplir la volonté de Dieu qui impose un délai à son accomplissement. Autrement dit, la vocation de successeur de Saint Pierre est effective au moment même de son élection divine et cela bien avant que cette élection soit reconnue par les cardinaux, même s’il arrive souvent que cette reconnaisse survient que plusieurs années plus tard. Alors, cette élection de Grégoire XVIII n’a rien de divine ou sinon, c’est comme prétendre que Dieu aurait choisi le Roi David avant d’avoir rejeté Saül.  Ensuite, il n’y a rien qui indique que Dieu aurait agi différemment avec père Mathurin, sachant que Grégoire XVII a lui-même été élu mystiquement par Dieu bien avant la mort de Clément XV de la même manière que Clément XV fut élu mystiquement par Dieu bien avant la mort de Pie XII et je suis persuadé que mon successeur aura été élu par Dieu avant mort en espérant que Dieu me disposera à le reconnaitre afin que je lui cède de mon vivant cette couronne afin de me mettre à son service avant de mourir, car le successeur de Saint Pierre demeure un serviteur de l’Église comme chaque membre de cette même Église.

Au nom du père et du fils et du Saint Esprit et de la mère de Dieu. Ainsi soit –il.

Si vous voulez en savoir davantage sur moi, voici une façon différente de présenter mon cheminement spirituel en cliquant sur ce lien:Je suis Léon XIV

(1) Voici une copie de la lettre officielle du rejet à ma demande de prononcer mes vœux de religion. J’aime mieux vous avertir qu’elle n’est pas très élogieuse à mon endroit et qu’elle est motivée par de fausses excuses.


 

2 Commentaires

  • Bonjour, ce que je pense savoir est que vous êtes normal.
    Beaucoup de gens pensent honnêtement être soit Jesus, le grand Monarque, et où autres.

    Je pense même qu’ avec des accessoires tel que la Gématrie et où d’autres mancie et même que si un autre personne vous reconnait comme tel, serait encore une fois un jeu du Divin.

    Lorsque le divin nous touche, il est très difficile de ne pas virer fou comme on dit.

    Donc vous êtes normal.

    À ce titre, des retours du Christ, il y en a toujours eu, les hopitaux en sont pleins.

    Et pour moi, ils sont normaux.

    Il faut les aimer

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      La reconnaissance humaine est sans importance lorsqu’on a la reconnaissance divine. Ensuite, je ne recherche pas à être normal, surtout que les gens ont leur propre définition de la normalité qui n’est pas nécessairement celle de Dieu. Pour ce qui est de la Gématrie ou de la numérologie, c’est davantage un outil de lecture démoniaque qu’un outil de lecture divine, surtout lorsqu’on n’a pas la grâce d’état ce que n’a pas la plupart des gens.

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