Merci pour cette vidéo qui répond sur plusieurs points aux arguments que me livrent des athés lorsque je parle de Dieu avec eux.
Avez-vous écrit le commentaire que vous prononcez dans la vidéo ? Je veux dire, est-il possible d’en avoir une copie dans un format “texte” ?
@Emmanuel
Ce n’est qu’un brouillon, en voici une copie.
Cette précieuse liberté passagère.
Au nom du père et du fils et du Saint Esprit et de la mère de Dieu.
Aujourd’hui, je voudrais vous parler de liberté, car souvent le monde se demande pourquoi Dieu permet la guerre, les inégalités sociales, l’esclavage, l’exploitation, le viol, le meurtre et etc. Et souvent le monde se demande pourquoi Dieu n’intervient pas et pourquoi laisse-t-il le monde entier se dégénérer autant dans le péché.
Pourtant, Dieu est tout puissant et il a le POUVOIR d’empêcher notre liberté à faire le mal, mais pour lui, notre liberté a plus de valeur que le Bien en soi, car faire le bien LIBREMENT est un plus grand bien à ses yeux que de faire le bien involontairement. Dieu désir qu’on l’aime librement, il n’y a pas d’amour véritable qui est involontaire. L’amour sans liberté n’existe pas.
Dieu pourrait nous empêcher de faire le mal, mais nous n’aurions aucun mérite car nous n’aurions fait aucun effort à faire le bien et ainsi nous n’aurions fait aucun effort à aimer Dieu et notre prochain. C’est aussi pour cette raison que notre effort à faire le bien est plus important pour lui que le résultat obtenu, même si le résultat est mauvais en apparence. C’est pour cette raison que LA LIBERTÉ EST PLUS IMPORTANTE POUR DIEU QUE LA VERTU elle-même.
Ensuite, Dieu en permettant notre liberté à faire le péché, permet donc aussi l’aveuglement spirituel qu’engendre le péché et cet aveuglement spirituel nous fait perdre la Foi, soit la vérité et c’est ainsi que l’apostasie se répand, car Dieu par le péché permet à l’homme de s’éloigner de sa lumière divine et tout cela parce qu’il désir être aimé librement.
Donc, Dieu n’impose pas la vertu, ni la lumière qu’elle engendre, soit la vérité qu’est la FOI.
Autrement dit, pour faire le bien, il faut connaître ce qui est bien afin d’être en mesure de mettre en pratique cette connaissance du bien, car On ne peut pas faire le bien dont on ignore l’existence et qu’on n’a pas pris conscience.
Par exemple, lorsqu’une personne croit qu’il n’y a aucun mal à pratiquer l’avortement, c’est que sa connaissance du bien est limitée et qu’il ne pourra pas sans la grâce de Dieu se refuser la pratique de l’avortement. L’erreur des pro-vies c’est de leur imposer une vertu qu’ils n’ont pas pris conscience car la grâce de Dieu n’y est pas. En imposant l’interdiction de l’avortement à ces personnes pro-choix, cela va provoquer en eux dans leur incompréhension du mal, une révolte. Une révolte contre quoi et qui? Une révolte Contre l’Église, la religion et Dieu. Il ne faut jamais imposer la vertu par des lois, même Dieu ne le fait pas, alors pourquoi le ferions-nous. Alors, Dieu préfère un moindre mal qu’un plus grand mal dont la conséquence serait la perte d’une âme. Car Oui, Dieu préfère l’avortement d’un corps que la damnation d’une âme en révolte contre lui. Le salut de l’âme est plus important pour lui que la survie d’un corps.
Alors, c’est notre volonté libre à vouloir connaître la vérité qui nous permette de faire le bien, soit de mettre en pratique les vérités dont on a pris connaissance et cette science du bien et du mal qu’est la Foi ne s’obtient que par la prière et la souffrance. L’argumentation et nos lectures n’ont aucun effet sur nous-mêmes ou notre prochain sans la grâce de Dieu.
Alors, la prière devient nécessaire, car la vérité ne provient pas de nos propres raisonnements personnels, mais de Dieu. C’est Dieu qui doit nous communiquer ses vérités sur la notion du bien afin de pouvoir la mettre en pratique.
« Car vous étiez autrefois ténèbres; mais maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur. Marchez comme des enfants de lumière; car le fruit de la lumière consiste en toute sorte de bonté, de justice et de vérité. » Éphésiens 5,8-9
« Et Je Me sanctifie Moi-même pour eux, afin qu’ils soient, eux aussi, sanctifiés dans la vérité. » Jean 17,19
Alors, le travail commence sur soi avant d’être en mesure de changer notre prochain à faire le bien.
Et lorsqu’on approfondit notre compréhension du bien, on constate qu’il y a une échelle de préférence dans les volontés divines que nous devons accomplir car la vertu de Dieu est absolu et ne pouvant pas atteindre sur terre l’absolu en fait de vertu, Dieu nous préfère petit saint que pécheur, de la même manière qu’il nous préfère petit pécheur que grand pécheur. Alors, Il faut accepter par humilité que nous ne sommes pas l’immaculée conception et qu’il y a des personnes qui ne sont pas au même niveau de conscience dans leur connaissance du Bien et du Mal. Alors, il ne faut pas forcer les gens à faire un bien qui est incompréhensible pour eux. Il faut apprendre à accepter son état spirituel et à prier pour lui.
Alors, pour revenir au concept de liberté, il faut prendre conscience qu’elle n’existe que sur la terre et qu’une fois qu’on a fait le choix entre le bien et le mal, la conséquence de notre choix devient définitive après notre mort. Et après notre mort, Dieu regarde notre sincérité, purifie ce qui est encore impure en nous et nous fait faire un saut qualitatif dans l’échelle de la vertu jusqu’à l’absolu où il se trouve. Alors, une fois qu’on a utilisé notre liberté sur terre, on ne peut plus changer d’idée après notre mort, soit on devient l’esclave de la vertu ou l’esclave du péché et cela pour l’éternité.
“Mais maintenant, affranchis du péché et devenus esclaves de Dieu, vous avez pour fruit la sanctification, et pour fin la vie éternelle.” Romains 6,22
Donc, l’éternité de notre salut ou de notre damnation réside en l’absence de liberté et afin de préparer cette éternité au paradis, nous devons apprendre à sacrifier librement notre liberté sur terre en nous donnant à Dieu complètement car “Ne savez-vous pas que lorsque vous vous faites les esclaves de quelqu’un pour lui obéir, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché pour y trouver la mort, soit de l’obéissance pour y trouver la justice?” Épitre aux Romains 6,16
et
“Ainsi, ayant été affranchis du péché, vous êtes devenus esclaves de la justice.” Épitre aux Romains 6,18
Merci!
Le format “texte” permet souvent de mieux assimiler/mémoriser l’argumentation car on peut relire plusieurs fois les mêmes mots ; chose que la vidéo et l’audio permettent moins facilement.
En tout cas, ce thème-ci est efficace : j’ai pu faire lever des sourcils à un athée convaincu ce midi 🙂 et j’ai bon espoir de continuer à le troubler encore…
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Merci pour cette vidéo qui répond sur plusieurs points aux arguments que me livrent des athés lorsque je parle de Dieu avec eux.
Avez-vous écrit le commentaire que vous prononcez dans la vidéo ? Je veux dire, est-il possible d’en avoir une copie dans un format “texte” ?
@Emmanuel
Ce n’est qu’un brouillon, en voici une copie.
Cette précieuse liberté passagère.
Au nom du père et du fils et du Saint Esprit et de la mère de Dieu.
Aujourd’hui, je voudrais vous parler de liberté, car souvent le monde se demande pourquoi Dieu permet la guerre, les inégalités sociales, l’esclavage, l’exploitation, le viol, le meurtre et etc. Et souvent le monde se demande pourquoi Dieu n’intervient pas et pourquoi laisse-t-il le monde entier se dégénérer autant dans le péché.
Pourtant, Dieu est tout puissant et il a le POUVOIR d’empêcher notre liberté à faire le mal, mais pour lui, notre liberté a plus de valeur que le Bien en soi, car faire le bien LIBREMENT est un plus grand bien à ses yeux que de faire le bien involontairement. Dieu désir qu’on l’aime librement, il n’y a pas d’amour véritable qui est involontaire. L’amour sans liberté n’existe pas.
Dieu pourrait nous empêcher de faire le mal, mais nous n’aurions aucun mérite car nous n’aurions fait aucun effort à faire le bien et ainsi nous n’aurions fait aucun effort à aimer Dieu et notre prochain. C’est aussi pour cette raison que notre effort à faire le bien est plus important pour lui que le résultat obtenu, même si le résultat est mauvais en apparence. C’est pour cette raison que LA LIBERTÉ EST PLUS IMPORTANTE POUR DIEU QUE LA VERTU elle-même.
Ensuite, Dieu en permettant notre liberté à faire le péché, permet donc aussi l’aveuglement spirituel qu’engendre le péché et cet aveuglement spirituel nous fait perdre la Foi, soit la vérité et c’est ainsi que l’apostasie se répand, car Dieu par le péché permet à l’homme de s’éloigner de sa lumière divine et tout cela parce qu’il désir être aimé librement.
Donc, Dieu n’impose pas la vertu, ni la lumière qu’elle engendre, soit la vérité qu’est la FOI.
Autrement dit, pour faire le bien, il faut connaître ce qui est bien afin d’être en mesure de mettre en pratique cette connaissance du bien, car On ne peut pas faire le bien dont on ignore l’existence et qu’on n’a pas pris conscience.
Par exemple, lorsqu’une personne croit qu’il n’y a aucun mal à pratiquer l’avortement, c’est que sa connaissance du bien est limitée et qu’il ne pourra pas sans la grâce de Dieu se refuser la pratique de l’avortement. L’erreur des pro-vies c’est de leur imposer une vertu qu’ils n’ont pas pris conscience car la grâce de Dieu n’y est pas. En imposant l’interdiction de l’avortement à ces personnes pro-choix, cela va provoquer en eux dans leur incompréhension du mal, une révolte. Une révolte contre quoi et qui? Une révolte Contre l’Église, la religion et Dieu. Il ne faut jamais imposer la vertu par des lois, même Dieu ne le fait pas, alors pourquoi le ferions-nous. Alors, Dieu préfère un moindre mal qu’un plus grand mal dont la conséquence serait la perte d’une âme. Car Oui, Dieu préfère l’avortement d’un corps que la damnation d’une âme en révolte contre lui. Le salut de l’âme est plus important pour lui que la survie d’un corps.
Alors, c’est notre volonté libre à vouloir connaître la vérité qui nous permette de faire le bien, soit de mettre en pratique les vérités dont on a pris connaissance et cette science du bien et du mal qu’est la Foi ne s’obtient que par la prière et la souffrance. L’argumentation et nos lectures n’ont aucun effet sur nous-mêmes ou notre prochain sans la grâce de Dieu.
Alors, la prière devient nécessaire, car la vérité ne provient pas de nos propres raisonnements personnels, mais de Dieu. C’est Dieu qui doit nous communiquer ses vérités sur la notion du bien afin de pouvoir la mettre en pratique.
« Car vous étiez autrefois ténèbres; mais maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur. Marchez comme des enfants de lumière; car le fruit de la lumière consiste en toute sorte de bonté, de justice et de vérité. » Éphésiens 5,8-9
« Et Je Me sanctifie Moi-même pour eux, afin qu’ils soient, eux aussi, sanctifiés dans la vérité. » Jean 17,19
Alors, le travail commence sur soi avant d’être en mesure de changer notre prochain à faire le bien.
Et lorsqu’on approfondit notre compréhension du bien, on constate qu’il y a une échelle de préférence dans les volontés divines que nous devons accomplir car la vertu de Dieu est absolu et ne pouvant pas atteindre sur terre l’absolu en fait de vertu, Dieu nous préfère petit saint que pécheur, de la même manière qu’il nous préfère petit pécheur que grand pécheur. Alors, Il faut accepter par humilité que nous ne sommes pas l’immaculée conception et qu’il y a des personnes qui ne sont pas au même niveau de conscience dans leur connaissance du Bien et du Mal. Alors, il ne faut pas forcer les gens à faire un bien qui est incompréhensible pour eux. Il faut apprendre à accepter son état spirituel et à prier pour lui.
Alors, pour revenir au concept de liberté, il faut prendre conscience qu’elle n’existe que sur la terre et qu’une fois qu’on a fait le choix entre le bien et le mal, la conséquence de notre choix devient définitive après notre mort. Et après notre mort, Dieu regarde notre sincérité, purifie ce qui est encore impure en nous et nous fait faire un saut qualitatif dans l’échelle de la vertu jusqu’à l’absolu où il se trouve. Alors, une fois qu’on a utilisé notre liberté sur terre, on ne peut plus changer d’idée après notre mort, soit on devient l’esclave de la vertu ou l’esclave du péché et cela pour l’éternité.
“Mais maintenant, affranchis du péché et devenus esclaves de Dieu, vous avez pour fruit la sanctification, et pour fin la vie éternelle.” Romains 6,22
Donc, l’éternité de notre salut ou de notre damnation réside en l’absence de liberté et afin de préparer cette éternité au paradis, nous devons apprendre à sacrifier librement notre liberté sur terre en nous donnant à Dieu complètement car “Ne savez-vous pas que lorsque vous vous faites les esclaves de quelqu’un pour lui obéir, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché pour y trouver la mort, soit de l’obéissance pour y trouver la justice?” Épitre aux Romains 6,16
et
“Ainsi, ayant été affranchis du péché, vous êtes devenus esclaves de la justice.” Épitre aux Romains 6,18
Et tout cela pour l’éternité…
Merci!
Le format “texte” permet souvent de mieux assimiler/mémoriser l’argumentation car on peut relire plusieurs fois les mêmes mots ; chose que la vidéo et l’audio permettent moins facilement.
En tout cas, ce thème-ci est efficace : j’ai pu faire lever des sourcils à un athée convaincu ce midi 🙂 et j’ai bon espoir de continuer à le troubler encore…