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Grégoire XVII

(successeur de Saint Pierre de 1968 à 2005)

Il faut savoir au départ que l’Église Catholique a toujours d’abord été une réalité surnaturelle avant d’être une réalité temporelle et visible. Autrement dit, le surnaturel précède toujours le temporel ce qui a pour effet que l’Église visible n’est que le reflet de ce qui a été décidé par Dieu à l’avance sur le plan surnaturel pour son Église, c’est d’ailleurs pour cette raison que c’est Jésus qui gouverne d’abord l’Église Catholique et que l’Église demeure essentiellement une monarchie de droit divin où le conclave des cardinaux n’avait pas pour rôle d’élire à la place de Dieu, un nouveau successeur de Saint Pierre comme certains le pensent, mais de reconnaître le choix de Dieu sur une personne, un rôle en lui-même qui dépendait de la présence et de l’influence du Saint Esprit.

Il faut bien comprendre que l’Église en elle-même sur le plan surnaturel et mystique ne change jamais, c’est plutôt notre compréhension de son existence sur le plan surnaturel qui s’approfondit avec le temps remodelant ainsi sa façon de s’exprimer sur le plan temporel. Autrement dit, l’Église militante sur la terre demeure une société qui est constamment soumise à une sanctification, une purification et à un renouvellement de la part de la partie triomphante de l’Église qu’on retrouve au ciel, car c’est bien la composante céleste de l’Église qui façonne sa partie militante sur la terre où son chef qu’est le successeur de Saint Pierre n’est qu’un intermédiaire entre la hiérarchie ecclésiastique qu’on retrouve sur la terre et la hiérarchie angélique qui le précède devant Dieu dans la transmission de ses lumières et de ses volontés.

Alors, pendant que l’institution Romaine perdait son successeur de Saint Pierre par la destitution surnaturelle de Pie XII afin qu’il soit remplacé au même moment par Clément XV, l’âme de l’Église c’est remis à se reconstruire une Nouvelle Église visible en marge et en parallèle à cette même institution Romaine qui par le fait même reflétait de moins en moins l’âme de l’Église comme si le corps mystique de Jésus-Christ c’était progressivement retiré de l’institution romaine afin d’émerger ailleurs sur le plan temporel. Alors, la partie céleste de l’Église par l’intermédiaire des anges s’assura progressivement d’extraire de l’institution romaine tous les éléments encore sains de l’institution romaine comme matière première à l’édification de cette nouvelle Église visible sur la terre et parmi ces éléments, il y avait ce frère Jean de la Trinité qui comme Clément XV était davantage reliée mystiquement parlant à cette Église surnaturelle que le commun des fidèles de tel sorte que dès 1949, il avait vu Clément XV en vision mystique comme Pape avant même de le rencontrer pour la première fois en mars 1961 où les deux personnages se reconnurent aussitôt en se voyant, car Clément XV avait lui-même vu ce frère Jean de la Trinité en vision de tel sorte que très peu de temps après, ce frère fut ordonné prêtre par Clément XV le 21 janvier 1962 pour ensuite recevoir également la consécration épiscopale le 25 mars de la même année faisant de lui un évêque et lorsque Père Jean de la Trinité remplaça Clément XV sous le nom de Grégoire XVII en ce 24 juin 1968, il avait la tâche de formée un peuple nouveau dont les membres étaient issus de toutes les nations de la terre qui se résume par ce message de Jésus qu’il reçut lors de l’une de ses nombreuses expériences mystiques:

«Mes enfants, Je veux former avec vous un peuple nouveau, Mon peuple, Ma race choisie. Mais il ne faudrait pas que votre petite race de la terre, votre petit pays de la terre vienne nuire à la formation de ce peuple nouveau, comme vous l’avez lu plusieurs fois dans la prière de Saint Louis de Montfort. Avez-vous remarqué que ce grand Saint, inspiré par le Ciel, disait «Vous les assemblerez de toutes les nations»? C’est ce qui se fait ici. Mais croyez-vous que Je voudrais vous rassembler de toutes les nations, pour que justement vos différences de langues et de nations soient une cause de division? Non, Mes enfants. Craignez cet esprit; craignez ces comparaisons entre peuples, qui ne sont pas de Moi.Voyez ce qui se passe dans le monde… Vous êtes tous Mes enfants chers, de quelque nation que vous soyez. Pour vous, soyez au-dessus de ces petites étroitesses d’esprit qui Me déplaisent souverainement, qui détruiraient la charité et qui M’empêcheraient d’accomplir avec vous ce que Je veux faire. Non, ici il y a la race de Mes élus, Mon peuple choisi, le PEUPLE NOUVEAU. »

Cependant, ce peuple nouveau en gestation devait se détacher avec le temps de ces races de la terre dont les membres étaient issus afin d’éviter justement que leurs différences de langues et que leurs sentiments d’appartenance qu’ils pouvaient avoir vis-à-vis des nations étrangères deviennent une cause de division au sein de cette nouvelle nation en devenir. Alors, Grégoire XVII à la demande de Dieu leur proposa une langue commune, soit la langue française, car il avait reçu ce message de Jésus dès le 27 janvier 1969 qui définissait le type de peuple nouveau que Dieu voulait fondé avec eux:

«Mes enfants, Je vous ai dit que le premier Pape de France, dans cette période où ils étaient en dehors de Rome, s’appelait Clément et le dernier Grégoire. «Mais, direz-vous, ici, est ce la France ? « Oui, Mes enfants. Ici, c’est la France. Je vais vous lever un peu le coin du voile ce soir. Les promesses faites à la France, elles sont pour vous, Mes enfants. Si, il y a déjà plus de trois siècles, sont venus de Mes serviteurs et servantes de la France, ils sont venus ici, c’est par la Volonté divine, qui les envoyait pour commencer ici la Nouvelle-France. Il y a dans le monde beaucoup de pays qu’on appelle de la Francophonie, ce qui veut dire qui parlent français, mais ici, Mes enfants, il y a plus qu’un pays francophone, il y a ici la France. Les autres pays sont des pays francophones, mais ici se trouve la France par la Volonté expresse du Ciel. Ici, la Nouvelle-France où sera l’Église nouvelle. »

Cependant, une langue française commune ne suffisait pas à assurer cette unité parfaite que Dieu attendait d’eux, car leurs cœurs n’avaient pas cette prédisposition au don total qui reposait également sur un détachement de cœur de leurs origines qui étaient étrangères à la France, car cette nouvelle Église visible n’est pas seulement un pays francophone comme on en retrouve ailleurs au sein de la francophonie, mais c’est la France, une Nouvelle France.

Alors, on arrive à la conclusion que cette communauté naissante et grandissante a vécu plusieurs décennies à méditer ces messages de Jésus parmi tant d’autres sans vraiment comprendre leur sens profond, car l’attachement des membres de cette même communauté à leurs origines étrangères les empêchait de voir cette caractéristique française de cette Église nouvelle à laquelle Dieu voulait les assimiler et c’est pour cela que Dieu décida de leur envoyé en provenance du monde, une personne qui avait déjà cette prédisposition à aimer cette France telle que Jésus la désirait et cette personne porta auprès d’eux, le nom de Frère Nicolas de l’Immaculée c’est-à-dire moi-même qui joua le rôle bien malgré moi de petit prophète auprès d’eux afin de leur faire comprendre l’orientation française que Dieu voulait pour leur communauté afin que se réalise cette unité parfaite que Dieu leur demandait, mais comme la plupart des prophètes que j’étais devenu pour eux, cette compréhension que j’avais reçue de Dieu des messages qu’avaient reçu Grégoire XVII sur le rôle de la France sur cette nouvelle Église visible fut rejetée, ce qui a eu pour effet de rejeter le dépôt de la Foi que j’incarnais à travers ce que représente la France aux yeux de Dieu faisant de moi à leur insu, le successeur de Grégoire XVII sous le nom de Léon XIV en ce 14 septembre 2005, une élection divine qui fut mystique et qui provoqua mon expulsion de la communauté plusieurs mois plus tard en 2006 sans l’avoir désiré, ni voulu.

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